Les soirees de charite. en bon, quel excellent pretexte Afin de montrer notre argent et controler officieusement la ville entre individus riches et influentes.

Les soirees de charite. en bon, quel excellent pretexte Afin de montrer notre argent et controler officieusement la ville entre individus riches et influentes.

es pauvres ? Personnellement, la plupart des gens s’en branle, le but est essentiellement de blanchir de l’argent en se donnant bonne conscience et belle reputation.

J’ai conserve la chevelure blonde pour tout i  l’heure, que j’ai soigneusement peigne et tresse.

Tout habille de noir, reellement chic, avec un chapeau noir et un maquillage doree, je parcours lentement des tableaux d’une galerie qui seront bientot mit en commercialisation durant l’enchere benefice pour je ne sais plus trop qui. De toute facon, je m’en branle de ses tableaux, je fais semblant de les analyser, mais en vrai, je regarde des convives.

Je remarque des hauts places assez interessants, et eux aussi me remarquent. Je me sens tri?s et puissant dans les yeux de certains, ainsi, je dois dire que i§a me fait plaisir.

Apres ma fausse contemplation, J’me dirige doucement aupres du petit salon d’invite, concu via des riches, pour des riches. Je m’asseois sur un canape, soulage de devenir loin des pauvres et des tableaux dont je me fous. Je suis l’un des premiers installe au salon anastasiadate payant. La revente aux encheres devraient debute dans plus d’une heure, donc j’i le temps. Je prends un verre de champagne, allumant ma cigarette et fumant au fume-cigarette, attendant l’arrivee de quelques hommes d’affaires.

Une soiree caritative, encore une. Je ne comprenais nullement pourquoi c’etait a moi de filer mon fric a toutes les pauvres alors que j’avais bosse dur concernant l’obtenir. S’ils avaient besoin d’argent, qu’ils travaillent plutot que de reste vautree dans leur minable misere! Sauf que naturellement, dans un monde ou les apparences sont plus importantes que la verite, J’me devais de participer a l’hypocrisie generale et afficher un sourire poli et hautain en dedaignant mentalement le reste de faire mes congeneres. Je n’avais meme jamais pris votre peine de trainer Jasmine jusqu’ici puisque j’esperais bien que cette fi?te soit un minimum agreable. Comme les tensions dans notre couple est fort palpable surpris le fait qu’elle etait un veritable livre ouvert, je ne tenais pas a devenir ce thi?me de discussion principal de l’ensemble de ceux qui etaient en manque d’excitation dans leur vie.

Vetu d’une chemise noire et d’un costume taille via mesure de la meme couleur, je me baladais entre les differentes convives, votre verre a mon tour.

Je ne comptais rien acquerir votre jour, nos ?uvres d’arts ne trouvant jamais reellement grace a faire mes yeux. J’me contenterais d’effectuer un don mirobolant et de savourer un verre a l’ecart de ceux qui etaient veritablement beaucoup intentionnes. Ceux-la, ils m’ec?uraient bien plus que des pauvres. S’ils aimaient tant que ca nos sans-le-sous, qu’ils nos adoptent et qu’ils nous foutent patience! Par chance, j’apercois enfin le salon reserve a toutes les membres nos plus importants et je m’y glisse avec bonheur. « Ciel, si l’enfer existe, il devra beaucoup ressembler a votre vaste plaisanterie » Soupirais-je a moi-meme avant de me diriger vers des canapes.

C’est a votre instant que je remarque un homme. Meme si je ne le connais que de nom, je le reconnais et l’identifie instantanement. Qui ignore l’identite de Lelouis L. Lordhim? Ainsi que moi, il fera part des fortunes des plus colossales de Storybrook et, de votre fait, des personnalites les plus difficiles d’approches. « Lelouis Lordhim, quelle agreable surprise. Il parait que le destin ait enfin permis que les chemins se croisent » Dis-je en guise de salutation en m’installant via le fauteuil en face de lui. Je le regarde, je l’analyse, je l’apprecie. Oui, j’apprecie et savoure pleinement et cela me fait face. « Alors, vous etes ici dans un souci de vouloir sauver l’univers ou simplement par le desir de distraction? » Demandais-je, sachant que tres peu de personne avait le pouvoir d’entrer dans cette piece.

Look de Aladdin:

J’affiche un petit sourire en voyant l’une des grandes richesses de cette ville s’installer devant moi et me devorer des yeux en me parlant. votre que j’aime etre moi !

J’etais les jambes croisees, dans une position a Notre fois feminine et sexy, comme i  chaque fois. J’attends avec patience que celui-ci termine son discours avant d’enchaine avec le miens.

– C’est donc que vous y mettiez peu d’efforts, monsieur Tucker. Les chemins, c’est nous. Il n’y a pas de hasard dans une telle metropole. Nous sommes nos chemins possibles. Notre destin vient manger dans ma main lorsque je le souhaite. Si ce n’est pas le cas Afin de vous, vous ne meritez ni ce statut, ni votre richesse, Tucker.

Je bois nonchalamment ce qui me reste de champagne avant d’une briser en l’ecrasant dans ma main. je portais des gants de toute facon. Je jette Notre coupe brisee derriere le canape sans delicatesse.

– Pour ma part je compte bien choisir une ?uvre ce soir. La peinture acrylique change la teinte des flammes dans ma cheminee et c’est un spectacle beaucoup plus appreciable que cette galerie. Et puis, si je peux debarrasser ce monde d’un peu de mochete, je rends service a l’univers.

Je fume un brin avant de reporter mon attention concernant lui. Mes yeux clairs percant l’homme qui me faisait face.